mercredi 27 juin 2012

Some leftists and Syria

Notwithstanding over 15,000 dead, tens of thousands of testimonials, text and visual evidence of  the carnage inflicted by the Syrian regime on citizens denied their political freedoms by one father, his son and their next of kin, some Arab and Lebanese "recalcitrant" leftists have yet to cease and desist from defending  the Damascus regime.

samedi 23 juin 2012

Quand le corps féminin fait la révolution

Avec la chute du mur de la peur durant les révolutions arabes, un phénomène nouveau et totalement inédit s’est produit. Le corps des femmes a émergé dans ce nouveau paysage politique et social comme un messager, un étendard qu’elles ont brandi pour rappeler qu’elles existaient à travers lui. Nadia Aissaoui et Ziad Majed pour Mediapart.fr

jeudi 7 juin 2012

Zakaria Tamer, l'éperon exilé

J’aimerais pouvoir un jour insulter tous les responsables politiques syriens dans un café damascène sans ressentir de peur ni craindre la prison

Zakaria Tamer est un nouvelliste syrien né à Damas en 1931. Autodidacte, journaliste, et pionnier dans son genre littéraire, il a publié de nombreux recueils : « Printemps de cendre », « Le hennissement du coursier blanc », « Neiges d'une fin de nuit », « Pourquoi le fleuve s’est tu », « Damas des embrasements », « Les tigres au dixième jour », « L’appel de Noé », « Nous rirons », et « Le hérisson ». Il vit en exil en Angleterre depuis 1981.
Le 21 janvier dernier, Tamer a décidé d’accompagner la révolution syrienne au moyen d’une page facebook intitulée « Al-Mihmaz » (l’éperon), et écrit chaque jour des petits messages, parfois des petites nouvelles fidèles à son style et à ses engagements humanistes.
Ci-dessous son entretien avec Ziad Majed et trois de ses derniers textes traduits de l’arabe par Nadia Aissaoui, parus dans l’Orient Littéraire.

dimanche 3 juin 2012

“Like” for Freedom

This text was first published in Arabic. It is on the "Like" Botton of Facebook, put in the current Syrian context. 
Many thanks to the Syrian Free Translators who translated it to English.